CNRI Femmes – Une mère militante a appelé l’opinion publique et les
défenseurs de la justice à rejoindre la quête de Maryam Akbari visant à
obtenir justice pour ses proches exécutés dans les années 1980 et le
massacre de 1988.
Mme Sholeh Pakravan, militante contre la peine de mort dont la fille Reyhaneh Jabbari, a été exécuté en 2014 pour s’être défendue contre son violeur, un agent du renseignement, a écrit dans son message :
« Quand un être cher est exécuté, il laisse une blessure irrémédiable sur tous les membres de sa famille. La question reste de savoir pour quel crime cet être cher a été exécuté ? Où se trouve sa sa tombe ? Aujourd'hui, Maryam Akbari Monfared, une prisonnière politique mère de deux filles, se tourne vers l'opinion publique mondiale pour trouver la réponse. Sa question est celle de millions d’Iraniens qui veulent savoir pourquoi des milliers de personnes ont été exécutées et où se trouvent leurs tombes. Pourquoi leur a-t-on interdit d’organiser des cérémonies funèbres ?
C’est un grave problème qui tourmente la conscience de notre peuple. Ceux qui ont prononcé les verdicts et ceux qui ont mené les exécutions, doivent répondre à ces questions.
« Nous sommes avec Maryam Akbari Monfared dans son appel à la justice. Nous demandons à tous les êtres humains en quête de justice de se joindre à cette campagne. »
http://www.women.ncr-iran.org/fr/
Mme Sholeh Pakravan, militante contre la peine de mort dont la fille Reyhaneh Jabbari, a été exécuté en 2014 pour s’être défendue contre son violeur, un agent du renseignement, a écrit dans son message :
« Quand un être cher est exécuté, il laisse une blessure irrémédiable sur tous les membres de sa famille. La question reste de savoir pour quel crime cet être cher a été exécuté ? Où se trouve sa sa tombe ? Aujourd'hui, Maryam Akbari Monfared, une prisonnière politique mère de deux filles, se tourne vers l'opinion publique mondiale pour trouver la réponse. Sa question est celle de millions d’Iraniens qui veulent savoir pourquoi des milliers de personnes ont été exécutées et où se trouvent leurs tombes. Pourquoi leur a-t-on interdit d’organiser des cérémonies funèbres ?
C’est un grave problème qui tourmente la conscience de notre peuple. Ceux qui ont prononcé les verdicts et ceux qui ont mené les exécutions, doivent répondre à ces questions.
« Nous sommes avec Maryam Akbari Monfared dans son appel à la justice. Nous demandons à tous les êtres humains en quête de justice de se joindre à cette campagne. »
http://www.women.ncr-iran.org/fr/
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