Tuesday, January 31, 2017

Une personnalité marocaine salue la Résistance au régime iranien

CNRI Femmes - Najima Thay Thay, ancienne ministre de l'Education et de la Jeunesse du Maroc et défenseure des droits des femmes, a condamné l’ingérence du régime iranien dans les pays du Moyen-Orient. A ses yeux, la victoire de la Résistance iranienne garantirait un avenir pacifique et florissant dans la région.
Mme Thay Thay a tenu ces propos dans une interview au journal saoudien Al-Jazeera.
«L’ingérence du régime iranien, a-t-elle expliqué, dans les affaires intérieures de certains pays arabes comme la Syrie, l'Irak, le Liban et le Yémen ont eu des conséquences catastrophiques pour tous les pays de la région et causé de terribles ravages en Irak, en Syrie et au Yémen. »
Mme Thay Thay a tenu à déclarer son soutien à la Résistance iranienne : «Je salue les efforts du Conseil national de la Résistance iranienne et, tout d’abord, les efforts admirables de la Présidente Maryam Radjavi qui brandit le drapeau de la paix et de l'amitié et qui représente la volonté et les idéaux du peuple iranien. »
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Iran: Une femme arrêtée pour un don de bienfaisance

CNRI Femmes - Haleh Gholami a été arrêté le 27 janvier 2017 pour avoir participé à la création d'un fonds de charité pour les enfants des rues et les enfants au travail.
Son domicile a été fouillé dans ses moindres recoins et ses téléphones et ses tablettes confisqués par les forces de sécurité.Mme Gholami est de confession Bahaïe, minorité religieuse sévèrement réprimée en Iran.
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Saturday, January 28, 2017

Iran: Des mannequins arrêtés en Azerbaïdjan oriental

CNRI Femmes - Un réseau de mannequins a été démantelé et cinq studios ont été scellés dans la province de l'Azerbaïdjan oriental (ouest de l'Iran). Cela a été annoncé par le chef de la police de Tabriz.
Mohammad Hassan Pasha a déclaré: « 16 personnes ont été identifiées et arrêtées pour avoir fait la promotion du mannequinat et de la mode occidentales sur internet. »Le mannequinat est interdit en Iran et toute personne impliquée dans cette entreprise est considérée en infraction.(Agence IRNA, 26 janvier 2017)http://www.women.ncr-iran.org/fr/

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Iran: une dirigeante syndicale se prononce contre la répression des travailleurs

CNRI Femmes - Une autre femme, membre de la direction de l'Union libre des travailleurs, a publié un communiqué pour protester contre la tentative d'arrestation de Jaafar Azimzadeh, l'un des dirigeants du syndicat.
Nahid Khodajou a promis de ne pas garder le silence si M. Azimzadeh était arrêté.Dans son message, Mme Khodajou souligne les pressions officielles pour réprimer les travailleurs en Iran, avec l’usage de la violence contre leurs manifestations pacifiques, et avec l’arrestation de militants bien connus.« Nous déclarons, a-t-elle dit, que si Jaafar Azimzadeh est arrêté, nous ne resterons pas silencieux un seul moment, nous nous lèveront dans l'unité et nous déclencherons une tempête. »
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Thursday, January 19, 2017

Iran: Une femme perd la vie en prison

CNRI Femmes – La prisonnière Shiva Fekri qui souffrait d’hypertension artérielle a perdu la vie. Détenue à la maison d’arrêt de Shahr-e Ray dans le sud de la capitale iranienne, elle avait été, comme la grande majorité des détenus, privée d’un traitement nécessaire.

Le régime iranien est signataire de la Convention internationale sur les droits civils et politiques, selon laquelle la privation de soins est considérée comme une forme de torture et de traitement cruel, inhumain et dégradant.
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Iran: Atena Daemi informée des accusations pesant contre elle

CNRI Femmes - La militante des droits civils Atena Daemi, actuellement emprisonnée en Iran, a été convoquée pour la deuxième fois au parquet de la prison, le 17 janvier 2017, où la plainte des gardiens de la révolution déposée contre elle a été examinée.« Une femme qui était allée chez Mme Daemi pour l'arrêter, dit une source proche du dossier, a reconnu avoir été contrainte de frapper Atena parce que cette dernière avait eu l'intention de déchirer le mandat.

Or cette femme n'avait pas de mandat du tout. »Mme Daemi a démenti et répliqué : «Les agents n'ont montré ni carte d'identité ni mandat, ils ont fait irruption violemment dans notre domicile, le visage couvert et des vêtements en civil. » La source informée a ajouté : « Atena et son avocat ont fait objection au fait que le procureur n'avait pas examiné la plainte de la famille Daemi contre le comportement violent des gardiens de la révolution le jour de l'arrestation. »La défenseure des droits des enfants Atena Daemi a été arrêtée le 26 novembre 2016, sans mandat écrit, pour purger sept ans de prison.
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Iran : Elle pose en bodybuildeuse sur le Net et se retrouve en prison

CNRI Femmes - Une femme pratiquant le body-building a été arrêtée le 17 janvier 2017 en Iran pour avoir diffusé ses photos sur internet. Elle a été informée des charges pesant contre elle et pourra être libérée sous une caution de 200 millions de toman.
Cependant, parce qu’elle était incapable de verser une telle somme, elle a été incarcérée.Déjà, deux autres sportives ayant participé à des compétitions de body-building avaient été convoquées au parquet de la culture et des médias à la mi-septembre. (Agence Mizan, 18 janvier 2017)
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Sunday, January 15, 2017

Iran: inquiète pour son fils en grève de la faim, elle fait un infarctus

CNRI Femmes - Dans la nuit du 11 au 12 janvier et au 72ème jour de grève de la faim de son fils le prisonnier politique Ali Shariati à la prison d'Evine en Iran, sa mère a fait un infarctus et a été hospitalisée.
Shayesteh Sadat Shahidi est de santé fragile en raison du stress causée par la situation de son fils.Ali Shariati a entamé une grève de la faim le 31 octobre 2016, pour protester contre son arrestation sur la base de fausses accusations d’agression à l’acide contre des femmes. Il a déclaré que tant qu'il ne serait pas lavé de cette accusation injuste et infondée, il poursuivrait sa grève de la faim.
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Iran: Une mère fait une crise cardiaque en apprenant la détention prolongée de son fils

CNRI Femmes - La mère du prisonnier politique Saleh Kohandel a fait une crise cardiaque après avoir appris que son fils ne serait pas libéré alors qu’il a purgé sa peine de dix ans.
Elle est actuellement en coma à l’hôpital.Saleh Kohandel a dû être libéré de la prison le 11 janvier 2017, à la fin de sa peine, mais on lui a dit qu'il ne serait pas relaxé.Saleh Kohandel, 51 ans, a été arrêté en hiver 2006 pour avoir soutenu l'opposition iranienne OMPI et condamné à dix ans. Le prisonnier a deux filles, Zahra et Paria, qui ont rejoint la Résistance iranienne.
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Saturday, January 7, 2017

Iran: Deux femmes de l'opposition iranienne font appel à la vie de leur père

Deux membres de l'opposition iranienne ont lancé un appel en appelant les personnes consciencieuses du monde et les autorités des droits de l'homme à prendre des mesures urgentes pour sauver la vie de leur père, le prisonnier politique Ali Moezzi.
Forough et Hejrat Moezzi sont les filles du prisonnier politique, Ali Moezzi, 65 ans. Il a été enlevé dans la matinée du mercredi 4 janvier 2017, sur son chemin de retour à la prison après avoir rendu visite à son frère. Il a été emmené dans un endroit inconnu.
Moezzi a dit: «Notre père a fini de purger sa peine et il a dû être libéré, mais il a été enlevé en prison par les agents du ministère des Renseignements il y a quelques jours, et nous n'avons aucune information sur l'endroit où il a été emmené. "
»Forough a ajouté:« Compte tenu du bilan abyssal des violations des droits de l'homme en Iran et des crimes des mollahs qui régissent l'Iran, je pense qu'il est gravement en danger et que nous ne connaissons pas son sort.
Hejrat Moezzi a également souligné: «Il a récemment condamné le massacre de prisonniers politiques en Iran en 1988, alors qu'il était encore en prison. Il avait été convoqué à plusieurs reprises par les agents du ministère des Renseignements et menacé de mort.
Ali Moezzi est un prisonnier politique de renom qui a été emprisonné trois fois par le régime clérical iranien. La première fois, c'était de 1981 à 1985 pour soutenir l'opposition des Mojahidines d'Iran (PMOI / MEK). La deuxième fois, c'était de 2008 à 2010 pour la visite de ses filles dans le camp d'Achraf de l'OMPI en Irak. La troisième fois, c'était en 2011 à ce jour, pour avoir participé à la cérémonie funèbre du prisonnier politique Mohsen Dogmechi qui avait été tourmenté à mort en raison du refus de traitement médical pour son cancer.
Il ya une campagne continue de twitter pour sauver la vie de cette prison politique, #SaveAliMoezzi, appelant à l'action pour soutenir et libérer Ali Moezzi.Iran: Deux femmes de l'opposition iranienne font appel à la vie de leur père
Deux membres de l'opposition iranienne ont lancé un appel en appelant les personnes consciencieuses du monde et les autorités des droits de l'homme à prendre des mesures urgentes pour sauver la vie de leur père, le prisonnier politique Ali Moezzi.
Forough et Hejrat Moezzi sont les filles du prisonnier politique, Ali Moezzi, 65 ans. Il a été enlevé dans la matinée du mercredi 4 janvier 2017, sur son chemin de retour à la prison après avoir rendu visite à son frère. Il a été emmené dans un endroit inconnu.
Moezzi a dit: «Notre père a fini de purger sa peine et il a dû être libéré, mais il a été enlevé en prison par les agents du ministère des Renseignements il y a quelques jours, et nous n'avons aucune information sur l'endroit où il a été emmené. "
»Forough a ajouté:« Compte tenu du bilan abyssal des violations des droits de l'homme en Iran et des crimes des mollahs qui régissent l'Iran, je pense qu'il est gravement en danger et que nous ne savons pas de son sort.
Hejrat Moezzi a également souligné: «Il a récemment condamné le massacre de prisonniers politiques en Iran en 1988, alors qu'il était encore en prison. Il avait été convoqué à plusieurs reprises par les agents du ministère des Renseignements et menacé de mort.
Ali Moezzi est un prisonnier politique de renom qui a été emprisonné trois fois par le régime clérical iranien. La première fois, c'était de 1981 à 1985 pour soutenir l'opposition des Mojahidines d'Iran (PMOI / MEK). La deuxième fois, c'était de 2008 à 2010 pour la visite de ses filles dans le camp d'Achraf de l'OMPI en Irak. La troisième fois, c'était en 2011 à ce jour, pour avoir participé à la cérémonie funèbre du prisonnier politique Mohsen Dogmechi qui avait été tourmenté à mort en raison du refus de traitement médical pour son cancer.
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Tuesday, January 3, 2017

Iran: Les femmes dans la rue pour exiger la liberté d'Arash Sadeghi

CNRI Femmes - Un grand nombre de personnes se sont rassemblées en Iran le 2 janvier 2017 devant la prison d'Evine de Téhéran pour exiger la libération immédiate du prisonnier politique Arash Sadeghi et de son épouse, Golrokh Iraee.

Un nombre considérable de manifestants étaient des femmes et des mères de prisonniers politiques et des victimes d'exécutions politiques. Les manifestants marchaient et avaient écrit sur leurs paumes: « Nous sommes Arash et Golrokh ».Au 71e jour de sa grève de la faim Arash Sadeghi est dans un état très grave. Le 70ème jour de sa grève de la faim, lors d'une réunion de cabine avec son père, il a vomi du sang avant de s’évanouir.Le 2 janvier 2017, Sholeh Pakravan, militante des droits humains et de la lutte contre la peine de mort, a exigé un traitement urgent d'Arash Sadeghi après sa longue grève de la faim. Elle a écrit dans un article: « Nous ne devons pas oublier qu'Arash doit être hospitalisé. Des responsables incompétents ont agi de manière irresponsable en ne l'hospitalisant pas et en ne le soignant pas. »Mme Pakravan a ajouté: «Nous n'oublierons jamais que ce jeune homme est resté sans manger pendant 70 jours et qu’il n'a pas été hospitalisé une seule journée. Ils n'ont pas pris une seule mesure médicale pour lui. Ils le conduisent à la mort. Nous ne leur pardonnerons pas ce comportement irresponsable dans le traitement d'Arach.»
https://www.youtube.com/watch?v=zh7bR8xyclY
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Iran: Le taux de chômage des jeunes femmes a dépassé 47% cet été

CNRI Femmes - Les résultats d'un sondage effectué au cours de l'été 2016 en Iran indiquent que le taux de chômage moyen des jeunes femmes a atteint 47,3%.L'enquête a été effectuée par le Centre de statistiques de l'Iran.
La province de Charmahal Bakhtiari est en tête avec un taux de chômage moyen de 73,7% pour les femmes de 15 à 24 ans.L'agence Mehr écrit dans une dépêche le 30 décembre que « le chômage est très répandu chez les femmes, même si leur ferveur pour l'enseignement universitaire est généralement plus élevée que celle des hommes. En l'absence d'un marché du travail adapté, les femmes sont déçues et désespérées dans leur recherche d’emploi. »L'enquête précédente officielle, réalisée en 2015 et publiée en avril 2016, avait fixé le taux de chômage des jeunes femmes à 40,2%, ce qui indique une augmentation de 7% en un an seulement.
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Des Bahaïes condamnées à la prison et expulsées de l'université en Iran

CNRI Femmes - Yekta Fahandej Saadi a été condamnée à cinq ans de prison en appel, en raison de sa foi bahaïe et résidant à Chiraz. Elle avait été arrêtée par les services de renseignement en mars 2014 pour propagande anti-gouvernementale et atteinte à la sécurité nationale.
Une autre Bahaïe, Pegah Dehghani Mohammadi, a été expulsée de l'université alors qu'elle se préparait pour ses premiers examens partiels.
Mme Mohammadi réside à Téhéran.Au moins 129 bahaïs ont été expulsés cette année de l'université et privés d'éducation en raison de leur confession.
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Sunday, January 1, 2017

Le ministère allemand des Affaires étrangères demande la libération de prisonniers iraniens

CNRI Femmes - Le ministère allemand des Affaires étrangères a exprimé sa préoccupation quant à la santé de quatre prisonniers politiques en Iran et a demandé à Téhéran de respecter les droits humains dans leurs dossiers.

Le 28 décembre 2016, Mme Bärbel Kofler, commissaire du ministère allemand des Affaires étrangères pour les droits humains et l'aide humanitaire, a critiqué le refus du régime iranien d'observer les normes relatives aux droits humains de Mme Golrokh Ebrahimi Iraee, Arash Sadeghi, l'ayatollah Mohammad Reza Nekounam et Morteza Moradpour.
Golrokh Ebrahimi Iraee, écrivaine et épouse du prisonnier politique Arash Sadeghi, a été emprisonnée pour six ans pour "outrage au sacré et propagande anti-gouvernementale". Elle a été emprisonnée pour avoir protesté contre le châtiment cruel de la lapidation dans une histoire jamais publiée.
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Des mères commémorent le souvenir de leurs enfants tués en Iran

CNRI Femmes - Une cérémonie commémorant Shahram Farajzadeh a eu lieu le 28 décembre 2016 en Iran par des mères activistes dont les enfants ont été tués lors de l'insurrection de 2009, exécutés ou emprisonnés par le régime iranien.
Les familles ont déclaré leur soutien aux prisonniers politiques actuellement en grève de la faim. Elles ont exigé la libération immédiate d'Arash Sadeghi (#SaveArash) et d'autres prisonniers politiques.Shahram Farajzadeh a été tué le 26 décembre 2009, lors de manifestations de rue, quand une voiture de police l’a renversé avant de rouler sur son corps, place Vali-Asr à Téhéran. Sur la photo on voit sa veuve et sa fille assise au centre, entourées par de militants.
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Des femmes protestent dans la deuxième ville d’Iran

CNRI Femmes - Des femmes ont organisé une action de protestation le 29 décembre 2016 à Machad, la deuxième ville d’Iran.Elles ont déployé une grande bannière dans une des grandes avenues de la ville.
Elles protestaient contre le fait que le régime en place dépense les richesses nationales dans d'autres pays (en Syrie, en Irak, etc.) plutôt que de s’occuper des miséreux en Iran.Machad, ville sainte chiite, est la capitale de la province de Khorassan dans le nord-est de l’Iran.
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Le sort d’une étudiante emprisonnée se décidera à la mi-janvier en Iran

CNRI Femmes- Le procès de Manijeh Fatehi, une étudiante de 23 ans, aura lieu le 17 janvier 2017, au tribunal révolutionnaire de Mahabad, au Kurdistan iranien.Manijeh Fatehi, originaire de Boukan, a été arrêtée en mars dernier et incarcérée dans les cellules des services de renseignement de Boukan, Mahabad et Oroumieh.
Elle est accusée de relations avec des partis d'opposition kurdes.Une source proche du dossier a déclaré : « La famille de Manijeh ne sait rien de la situation de sa fille, elle n'a que 23 ans et a vécu beaucoup d’épreuves difficiles durant ses mois de détention. »
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Deux jeunes femmes kurdes se suicident en Iran

CNRI Femmes - Une jeune femme de 19 ans s'est pendue dans un quartier nord de la ville kurde de Saqqez, dans l'ouest de l'Iran, dans la soirée du 28 décembre 2016.
Le 27 décembre 2016, une autre jeune fille kurde, âgée d’à peine 18 ans, avait aussi mis fin à ses jours à Ochnavieh.L’Iran misogyne des mollahs détient le record des suicides de femmes au Moyen-Orient.
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Une bahaïe expulsée d’un IUT en raison de sa foi en Iran

CNRI Femmes - Farinaz Mokhtari, une étudiante de confession bahaïe, été expulsée de l’IUT de Birjand dans le nord-est de l’Iran en raison de sa foi.Selon une source bien informée, elle a reçu un appel le 25 décembre pour lui demander de se présenter à la direction du collège pour y recevoir une lettre le 26 décembre 2016.
Le lendemain, lorsqu’elle s’est rendue à la direction, elle a reçu des documents indiquant qu'il lui était interdit de poursuivre ses études.Selon un projet de loi ratifié le 25 février 1991 par le Conseil suprême de la Révolution culturelle, les Bahaïs sont privés d’exercer un emploi et de suivre des études supérieures.
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Iran : 533 filles de moins de 14 ans mariées à Ispahan

CNRI Femmes - 533 filles de moins de 14 ans ont été mariées dans la province d'Ispahan, en Iran, dont cinq de moins de 10 ans, entre mars et novembre 2016.Cela a été annoncé par Hadj Rahimian, directeur général de l’état civil d'Ispahan le 29 décembre 2016.
L'âge légal du mariage pour les filles en Iran est de 13 ans mais il suffit du consentement du père ou tuteur et celui du juge pour la marier avant cet âge. La loi prévoit qu’une enfant de 9 ans est suffisamment mature pour être jugée et condamnée – à mort s’il le faut – et donc pour se marier. Cet âge est de 15 ans pour les garçons. Hadj Rahimian a ajouté qu'il y avait également eu 6540 mariages avec des femmes entre 14 et 19 ans. (Site Tabnak d'Ispahan, 29 décembre 2016)
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Iran: Une célèbre poétesse et écrivaine meurt à 83 ans

CNRI Femmes - Poète renommée, écrivaine et poète en Iran, Pouran Farrokhzad est morte à l'âge de 83 ans le 29 décembre 2016.Elle était dans le coma depuis plusieurs jours à l'hôpital Iran Mehr de Téhéran.
Sa soeur, Forough Farrokhzad était l'une des plus grandes dans le domaine de la poésie contemporaine de l’Iran.Pouran Farrokhzad a écrit plus de 30 livres, biographies et documents de recherche sur la poésie persane.
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