CNRI Femmes – Le rapporteur spécial de l’ONU sur la situation des
droits humains en Iran a appelé Téhéran le 7 octobre à libérer sur le
champ trois binationaux dont la santé est préoccupante.
Ahmed Shaheed souligne le cas de l’anglo-iranienne Nazanin Zaghari-Ratcliffe, arrêtée en avril avec sa fille de 2 ans et jugée en août.
Un tribunal révolutionnaire iranien l'a condamnée à cinq ans de prison sur des accusations qui restent secrètes, a déclaré sa famille le mois dernier.
« Condamner des personnes pour des accusations gardées secrètes des accusés et de leurs avocats est une parodie de justice », a estimé Shaheed, ancien ministre des Affaires étrangères des Maldives, dans un communiqué. Il a dit que sa santé s’était « gravement détériorée » depuis son arrestation.
Zaghari-Ratcliffe travaille pour la Fondation Thomson Reuters, un organisme de bienfaisance basé à Londres, qui est indépendant de l’agence Reuters. Sa fille, elle aussi piégée en Iran, est prise en charge par les parents de Nazanin Zaghari-Ratcliffe.
Les Gardiens de la révolution iraniens, des ultras, ont accusé Mme Zaghari-Ratcliffe d’avoir voulu renverser le régime clérical de l'Iran, une accusation que la Fondation et son mari ont rejeté.
(Reuters, 7 octobre 2016)
http://ca.reuters.com/article/idCAKCN1271V6
http://www.women.ncr-iran.org/fr/
Ahmed Shaheed souligne le cas de l’anglo-iranienne Nazanin Zaghari-Ratcliffe, arrêtée en avril avec sa fille de 2 ans et jugée en août.
Un tribunal révolutionnaire iranien l'a condamnée à cinq ans de prison sur des accusations qui restent secrètes, a déclaré sa famille le mois dernier.
« Condamner des personnes pour des accusations gardées secrètes des accusés et de leurs avocats est une parodie de justice », a estimé Shaheed, ancien ministre des Affaires étrangères des Maldives, dans un communiqué. Il a dit que sa santé s’était « gravement détériorée » depuis son arrestation.
Zaghari-Ratcliffe travaille pour la Fondation Thomson Reuters, un organisme de bienfaisance basé à Londres, qui est indépendant de l’agence Reuters. Sa fille, elle aussi piégée en Iran, est prise en charge par les parents de Nazanin Zaghari-Ratcliffe.
Les Gardiens de la révolution iraniens, des ultras, ont accusé Mme Zaghari-Ratcliffe d’avoir voulu renverser le régime clérical de l'Iran, une accusation que la Fondation et son mari ont rejeté.
(Reuters, 7 octobre 2016)
http://ca.reuters.com/article/idCAKCN1271V6
http://www.women.ncr-iran.org/fr/
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