CNRI Femmes – Les mères du parc Laleh, défenseures des droits civils,
ont publié un communiqué le 7 octobre 2016 pour protester contre les
violations des droits humains en Iran.
Prenant note du dernier rapport du Secrétaire général de l'ONU, elles ont déclaré que, malgré la hausse des protestations contre les atteintes flagrantes des droits humains en Iran, les « autorités judiciaires et les organes de sécurité continuent de tuer arbitrairement les défenseurs de la liberté par la torture ou des exécutions, de les incarcérer avec des peines injustes ou d'autres formes de torture psychologique, y compris de lourdes cautions, les expulser des universités ou leur interdire de quitter le pays, et à leur imposer différentes formes de privations et restrictions pour les persécuter eux et leurs familles en violant leurs droits. »
Les mères du Parc Laleh souligent le cas de Narguesse Mohammadi, Atena Da'emi et Golrokh Iraï, rappelant qu’elles n’ont commis aucun délit mais pris la défense des droits humains et qu’elles se sont opposées à la peine de mort et au voile obligatoire pour les femmes.
Elles évoquent également la question de la « torture blanche » (pressions psychologiques et la privation de soins de santé pour les prisonniers. Elles font référence au cas de Mme Zeinab Jalalian qui est sur le point de perdre ses yeux (à cause des coups reçus sur la tête au cours des interrogatoires), et qui n’est pas autorisées à se faire soigner à l’extérieur.
Les mères du Parc Laleh concluent : « Nous condamnons fermement les violations flagrantes des droits humains en Iran, en général, et les lourdes peines prononcées récemment. La réponse à ceux qui réclament leurs droits, la justice et la liberté n’st pas l'emprisonnement, la torture et l'exécution. Nous exigeons l'abrogation immédiate de ces verdicts injustes. »
http://www.women.ncr-iran.org/fr/
Prenant note du dernier rapport du Secrétaire général de l'ONU, elles ont déclaré que, malgré la hausse des protestations contre les atteintes flagrantes des droits humains en Iran, les « autorités judiciaires et les organes de sécurité continuent de tuer arbitrairement les défenseurs de la liberté par la torture ou des exécutions, de les incarcérer avec des peines injustes ou d'autres formes de torture psychologique, y compris de lourdes cautions, les expulser des universités ou leur interdire de quitter le pays, et à leur imposer différentes formes de privations et restrictions pour les persécuter eux et leurs familles en violant leurs droits. »
Les mères du Parc Laleh souligent le cas de Narguesse Mohammadi, Atena Da'emi et Golrokh Iraï, rappelant qu’elles n’ont commis aucun délit mais pris la défense des droits humains et qu’elles se sont opposées à la peine de mort et au voile obligatoire pour les femmes.
Elles évoquent également la question de la « torture blanche » (pressions psychologiques et la privation de soins de santé pour les prisonniers. Elles font référence au cas de Mme Zeinab Jalalian qui est sur le point de perdre ses yeux (à cause des coups reçus sur la tête au cours des interrogatoires), et qui n’est pas autorisées à se faire soigner à l’extérieur.
Les mères du Parc Laleh concluent : « Nous condamnons fermement les violations flagrantes des droits humains en Iran, en général, et les lourdes peines prononcées récemment. La réponse à ceux qui réclament leurs droits, la justice et la liberté n’st pas l'emprisonnement, la torture et l'exécution. Nous exigeons l'abrogation immédiate de ces verdicts injustes. »
http://www.women.ncr-iran.org/fr/
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