CNRI Femmes – Mme Simine Ayvaz-Zadeh a posté sur Facebook une note
protestant contre de lourdes peines injustes, comme celle de sept ans de
prison pour son fils Omid Alichenasse, un militant des droits civiques
en Iran.
Mme Ayvaz-Zadeh écrit : « (les juges) Moghisseh, Salavati, Hozan et Qomizadeh ont tous un point commun : la haine des jeunes innocents aux sentiments humains! Si (mon fils) avait détourné des milliards (de dollars), il n’aurait pas écopé d’une telle condamnation. Il aurait peut-être mieux fallu que mon fils soit une crapule pour bénéficier de clémence ! Mais jamais je ne ferai un tel souhait. J’aurai beaucoup à dire le moment venu. »
Par ailleurs, les mères et les femmes qui défendent les droits civils et humains se sont réunies chez Mme Ayvaz-Zadeh pour protester contre les lourdes peines touchant les militants des droits civiques et des droits de l'enfant, Atena Daemi et Omid Alichenasse.
Mansoureh Behkish, dont la sœur et les frères ont été exécutés dans les années 1980 et durant le massacre de 1988 en Iran, a déclaré à cet égard: « Les verdicts injustes prononcés par la Cour de révision pour Narguesse Mohammadi, Atena Daemi et Omid Alishenasse, ont surpris tout le monde. La question qui se pose est : pour quel crime ? Est-ce pour avoir défendu les droits humains, des activités de défense de la liberté, l’opposition à la peine de mort, la visite aux familles (des victimes), être allés à des cérémonies ou posséder une antenne satellite ? »
http://www.women.ncr-iran.org/fr/
Mme Ayvaz-Zadeh écrit : « (les juges) Moghisseh, Salavati, Hozan et Qomizadeh ont tous un point commun : la haine des jeunes innocents aux sentiments humains! Si (mon fils) avait détourné des milliards (de dollars), il n’aurait pas écopé d’une telle condamnation. Il aurait peut-être mieux fallu que mon fils soit une crapule pour bénéficier de clémence ! Mais jamais je ne ferai un tel souhait. J’aurai beaucoup à dire le moment venu. »
Par ailleurs, les mères et les femmes qui défendent les droits civils et humains se sont réunies chez Mme Ayvaz-Zadeh pour protester contre les lourdes peines touchant les militants des droits civiques et des droits de l'enfant, Atena Daemi et Omid Alichenasse.
Mansoureh Behkish, dont la sœur et les frères ont été exécutés dans les années 1980 et durant le massacre de 1988 en Iran, a déclaré à cet égard: « Les verdicts injustes prononcés par la Cour de révision pour Narguesse Mohammadi, Atena Daemi et Omid Alishenasse, ont surpris tout le monde. La question qui se pose est : pour quel crime ? Est-ce pour avoir défendu les droits humains, des activités de défense de la liberté, l’opposition à la peine de mort, la visite aux familles (des victimes), être allés à des cérémonies ou posséder une antenne satellite ? »
http://www.women.ncr-iran.org/fr/
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