CNRI Femmes – Dans un communiqué publié le 30 septembre, 2016, Golrokh
Ayra’i, défenseure des droits des prisonniers politiques, a appelé à
l'aide pour faire soigner les yeux de la prisonnière politique Zeinab
Jalalian.
Elle souligne que Mme Jalalian est emprisonnée depuis dix ans sans la moindre permission de sortie.
Elle s’inquiète de la vue de cette prisonnière résistante et appelle les défenseurs des droits humains à faire pression sur les autorités pénitentiaires pour autoriser un traitement médical.
Le 18 juillet 2016, un rapport intitulé « L’Iran met la vie de prisonniers politiques en danger en les privant de soins médicaux », Amnesty International écrivait : « Zeynab Jalalian, une Kurde d’Iran purgeant une peine de réclusion à perpétuité en relation avec son appartenance présumée à un groupe d’opposition kurde, risque de devenir aveugle parce qu'on l'empêche de recevoir un traitement. Sa famille pense qu’elle a été blessée lorsque les personnes chargées de l’interroger lui ont frappé la tête contre le mur à plusieurs reprises, lui fracturant le crâne et provoquant une hémorragie cérébrale et des troubles de la vue. À plusieurs reprises, les autorités carcérales ont refusé d’autoriser son transfert vers un hôpital, alors qu’elle a besoin d’être opérée des yeux de toute urgence. Des agents des renseignements lui ont dit qu’elle devrait d’abord faire des " aveux " ».
Elle souligne que Mme Jalalian est emprisonnée depuis dix ans sans la moindre permission de sortie.
Elle s’inquiète de la vue de cette prisonnière résistante et appelle les défenseurs des droits humains à faire pression sur les autorités pénitentiaires pour autoriser un traitement médical.
Le 18 juillet 2016, un rapport intitulé « L’Iran met la vie de prisonniers politiques en danger en les privant de soins médicaux », Amnesty International écrivait : « Zeynab Jalalian, une Kurde d’Iran purgeant une peine de réclusion à perpétuité en relation avec son appartenance présumée à un groupe d’opposition kurde, risque de devenir aveugle parce qu'on l'empêche de recevoir un traitement. Sa famille pense qu’elle a été blessée lorsque les personnes chargées de l’interroger lui ont frappé la tête contre le mur à plusieurs reprises, lui fracturant le crâne et provoquant une hémorragie cérébrale et des troubles de la vue. À plusieurs reprises, les autorités carcérales ont refusé d’autoriser son transfert vers un hôpital, alors qu’elle a besoin d’être opérée des yeux de toute urgence. Des agents des renseignements lui ont dit qu’elle devrait d’abord faire des " aveux " ».
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