CNRI Femmes – Amnesty International a publié un communiqué le 6 octobre
2016, exprimant son inquiétude à propos de l'emprisonnement de Golrokh
Ebrahimi Iraee, écrivain et militante des droits de l'homme, qui a écrit
un article contre la lapidation.
Le communiqué cite l’enquête d’Amnesty et plaidoyer du directeur pour le Moyen-Orient et Afrique du Nord, Philip Luther : «Les accusations portées contre Golrokh Ebrahimi Iraee sont ridicules. Elle fait face à des années derrière les barreaux simplement pour avoir écrit une histoire, et qui n'a même pas été publiée- elle est en fait punie pour avoir utilisé son imagination. »
Luther a ajouté: «Au lieu d'emprisonner une jeune femme pour avoir exercé pacifiquement ses droits humains en exprimant son opposition à la lapidation, les autorités iraniennes devraient se concentrer sur l'abolition de ce châtiment, qui équivaut à de la torture. Il est consternant que l'Iran continue de permettre l'utilisation de la lapidation, et la justifie au nom de la protection de la morale. »
Le 4 octobre Golrokh Ebrahimi Iraee a reçu un appel téléphonique menaçant du Centre pour l'application des peines lui ordonnant de se présenter à la prison d'Evine pour y purger sa peine de six ans pour "outrage au sacré » et «diffusion de propagande contre le régime. »
http://www.women.ncr-iran.org/fr/
Le communiqué cite l’enquête d’Amnesty et plaidoyer du directeur pour le Moyen-Orient et Afrique du Nord, Philip Luther : «Les accusations portées contre Golrokh Ebrahimi Iraee sont ridicules. Elle fait face à des années derrière les barreaux simplement pour avoir écrit une histoire, et qui n'a même pas été publiée- elle est en fait punie pour avoir utilisé son imagination. »
Luther a ajouté: «Au lieu d'emprisonner une jeune femme pour avoir exercé pacifiquement ses droits humains en exprimant son opposition à la lapidation, les autorités iraniennes devraient se concentrer sur l'abolition de ce châtiment, qui équivaut à de la torture. Il est consternant que l'Iran continue de permettre l'utilisation de la lapidation, et la justifie au nom de la protection de la morale. »
Le 4 octobre Golrokh Ebrahimi Iraee a reçu un appel téléphonique menaçant du Centre pour l'application des peines lui ordonnant de se présenter à la prison d'Evine pour y purger sa peine de six ans pour "outrage au sacré » et «diffusion de propagande contre le régime. »
http://www.women.ncr-iran.org/fr/
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