CNRI Femmes – L’appareil judiciaire de province du Khorassan-Razavi dans le
nord-est de l’Iran a demandé en hiver 2015 à ses services en ligne de refuser
l'enregistrement de 14 types de plaintes si elles sont déposées par des femmes.
Il s’agit de l'annulation de certificats de naissance, le certificat de la propriété
financière de leurs biens immobiliers, celui de leur dot et la rupture des
scellés de leurs véhicules.
Par conséquent, les femmes du Khorassan doivent dépenser le double de temps
et d’argent pour engager un avocat et déposer leurs plaintes dans d'autres
provinces. Or, sous le régime des mollahs en Iran, 88 % des femmes sont au
chômage et ne sont pas financièrement indépendants.
Toujours selon la Constitution des mollahs, les femmes doivent aussi avoir l’autorisation
de leur mari, même pour sortir de chez elles pour une corvée simple.
Un autre facteur qui agit comme un obstacle à la restitution des droits des
femmes, est le fait que les juges iraniens reçoivent des primes pour dissuader
les couples de divorcer.
(Site Khabar online, du 29 juillet 2016)
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