Mansoureh Behkish, un militant des droits de l'homme et
un parent de prisonniers politiques massacrés en 1988 en Iran, a annoncé
qu'elle et ses amis commémorait les victimes du massacre de 1988 à Khavaran
cimetière.
Près de 30 ans passé cet horrible crime contre
l'humanité, Khavaran où la plupart des victimes ont été enterrés dans des
fosses communes reste sous le contrôle étroit des forces de sécurité.
Cependant, de nombreuses familles et militants des droits humains risquent leur
propre sécurité à poursuivre leur tribut annuel aux meilleurs enfants de l'Iran
qui ont donné leur vie pour la liberté.
Mme Behkish a écrit: «Le 22 Juillet, 2016, nous avons
passé une heure en Khavaran établissant de nouvelles fleurs sur leurs tombes et
de les commémorer. Puis nous avons chanté l'hymne Khavaran. "
Mme Behkish a été arrêté et interrogé à deux reprises en
2011 et 2012 pour rendre hommage à ses proches sur leurs tombes. En 2009, elle
avait l'intention de quitter le pays, elle a été informée à l'aéroport qu'elle
est interdit de quitter le pays et son passeport a été confisqué.
Elle dit: «Ma sœur et beau-droit, ainsi que mes quatre
frères ont tous été exécutés au cours des années 1980. (Le gouvernement) nous ni
leur corps, ni l'adresse de leurs tombes pas même leurs derniers testaments a
donné. Mais plus tard, nous avons trouvé sur notre propre où ils avaient été
enterrés. "
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