Iran: Narges Mohammadi fait la grève de la faim à Evine
d'Evin pour les femmes, a commencé une grève de la faim le 27 Juin, 2016, pour protester contre la privation d'avoir un contact téléphonique avec ses enfants.
Elle a écrit plusieurs lettres ouvertes aux autorités judiciaires les plus élevées au sujet de son traitement par les autorités pénitentiaires.
Le vice-président de la Ligue des Human Rights Advocates en Iran a également écrit au sujet de sa grève de la faim: Il y a un an, dans les mêmes chaudes journées d'été, mes deux petits enfants ont quitté le pays pour la France. Il était leur anniversaire et je demande d'avoir un appel téléphonique pour les féliciter qu'ils ne permettaient pas. Contrairement à toutes les autres prisons, les prisonniers de la pupille d'Evin, les femmes sont privées d'appeler leurs familles. Faire des appels téléphoniques est interdite.
J'ai eu une expérience étrange au cours de la dernière année en prison. Malgré ma récente prison peine de 16 ans, d'être emprisonné n'a pas changé mon esprit, mais encore renforcé mes convictions dans la défense des droits humains. Dans le même temps, il n'a pas réduit tout de ma souffrance pour être séparé de mes enfants bien-aimés. Maintenant, comme il est écrit dans mon décret, je suis derrière les barreaux dans mon pays pour être un activiste des droits de l'homme et une féministe et opposant à la peine de mort.
Non seulement ils considèrent ma défense des droits humains comme un crime, mais amer est leur refus de mon être une femme et une mère.
Ainsi, en dépit de mes désirs et mon pouvoir physique, je n'ai pas d'autre choix que de crier mon «être une mère" en annonçant que je vais en grève de la faim. En tant que femmes et mères, notre peine est l'emprisonnement, ne pas être privé d'entendre la voix de nos proches.
d'Evin pour les femmes, a commencé une grève de la faim le 27 Juin, 2016, pour protester contre la privation d'avoir un contact téléphonique avec ses enfants.
Elle a écrit plusieurs lettres ouvertes aux autorités judiciaires les plus élevées au sujet de son traitement par les autorités pénitentiaires.
Le vice-président de la Ligue des Human Rights Advocates en Iran a également écrit au sujet de sa grève de la faim: Il y a un an, dans les mêmes chaudes journées d'été, mes deux petits enfants ont quitté le pays pour la France. Il était leur anniversaire et je demande d'avoir un appel téléphonique pour les féliciter qu'ils ne permettaient pas. Contrairement à toutes les autres prisons, les prisonniers de la pupille d'Evin, les femmes sont privées d'appeler leurs familles. Faire des appels téléphoniques est interdite.
J'ai eu une expérience étrange au cours de la dernière année en prison. Malgré ma récente prison peine de 16 ans, d'être emprisonné n'a pas changé mon esprit, mais encore renforcé mes convictions dans la défense des droits humains. Dans le même temps, il n'a pas réduit tout de ma souffrance pour être séparé de mes enfants bien-aimés. Maintenant, comme il est écrit dans mon décret, je suis derrière les barreaux dans mon pays pour être un activiste des droits de l'homme et une féministe et opposant à la peine de mort.
Non seulement ils considèrent ma défense des droits humains comme un crime, mais amer est leur refus de mon être une femme et une mère.
Ainsi, en dépit de mes désirs et mon pouvoir physique, je n'ai pas d'autre choix que de crier mon «être une mère" en annonçant que je vais en grève de la faim. En tant que femmes et mères, notre peine est l'emprisonnement, ne pas être privé d'entendre la voix de nos proches.
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